L’esplanade d’Antaninarenina s’est transformé en marché!
On y retrouve de tout: gargotes, vendeurs de sacs, de fruits, de légumes, de friperies, appels téléphone, etc.
Il n’y a donc pas un seul endroit épargné par ces vendeurs à Tana?
Je me demande aussi si ces quelques mètres carrés sont loués? vendus?
Est-ce que le fait que ces vendeurs paient une taxe légitime leur commerce?
Qui sont les personnes autorisées à y ériger leur tente?
Quelles sont les démarches à faire pour y être autorisées? Est-ce que c’est réglementé?
je pense que ce n’est pas autorisé mais chacun fait ce qu’il veut. A mon avis, au début il y avait un qui a étalé ses marchandises, et les autres a remarqué qu’il n’y avait pas de problème avec l’état et hop tout le monde étalait leurs marchandises, puis après on a monté les étalages, les kiosques,…
Puis à un moment on atteint un point de non retour et il devient impossible de les chasser vu leur nombre. C’est un cas typique de carence et d’incompétence des autorités. Il fallait tout de suite réagir et chasser les premiers vendeurs. ça n’aurait rien couté ni financièrement ni socialement. Maintenant les chasser non seulement coutera cher (il faut mobiliser l’emmoreg presque) mais en plus provoquera une émeute.
Au oui. Vous me rappelez là l’épisode du siège de l’hôtel de ville.
hihihi, et quand il y aura un dirigeant qui ose les chasser il y aura un diable qui les entrainent à faire de meeting pour chasser le dictateur(trice) qui bloque la vie des madinika! et après ce sera le cercle vicieux de tolona!
Pas de photos ?
un autre jour lorsque j’irai làbas, hier, j’avais pas d’appareil photo.
Une téléphone suffira. Mais il y a en ce moment un sorte d’exposition de livre je crois. On verra quand ce sera terminé.
que voulez-vous, c’est les madinika! pas touche sinon…
mais effectivement ça commence à saouler ces marchands des rues qui squattent partout.
sans une dictature et un corps d’armée spécifique pour les faire entrer dans un “vrai marché”, et la même chose pour ceux qui s’obstinent à acheter leurs trucs posés par terre sur sur des pseudo-étals, ça le fera pas.. mais ça c’est ailleurs, surement pas à babakotoville
J’ai pas rencontré un seul marchand dans la rue à la sauvette depuis que je suis ici. Ah si, 2 ou 3 blacks à la Tour Eiffel c’est tout. Oui oui, faudrait que j’aille à Clignancourt 🙂
vers barbès tout ça…
“Black” ? Vous parlez comme si vous n’en êtes pas un…ah, oui, les Malgaches ne sont pas des Africains !
Sa y est, c’est de nouveau reparti mon kiki sur “Les malgaches sont ils ou ne sont ils pas des Aricains ?”
z’en avez pas marre de perdre votre temps et votre énergie sur cette question idiote ?
Un jour est entré dans un restaurant ouvrier ouvert seulement le midi, un Africain bien black, c’était un goulou goulou comme on les appelle sur la côte d’azur qui vendait a la sauvette des ceintures, lunettes de soleil, etc
D’habitude ils se font virer vite fait, mais celui a eu l’idée géniale en entrant dans ce resto de chanter “noir c’est noir” et tout le monde en cœur a continué par “il n’y a plus d’espoir” et de suite on s’est tous marré et du coup le gars a réussi a faire quelques ventes ! 😛
@Lesabotsy un black reste un black,
un black appelle un black un black,
où est le souci?
Black = Noir.
Un Africain appelle un autre Africain “un Noir”.
Ce sont les racistes-constipés-complexés qui n’osent pas prononcer noir et utilisent noir en anglais (=black ) pour parler des Africains.
Ampianaro ny zaza. Ce n’est pas parce que c’est en anglais, chinois ou swahili, que noir ne signifie plus noir. Le vrai problème c’est la mauvaise conscience, le politiquement correct des hypocrites.
Le problème est que de nos jours on vous traîne au tribunal pour un oui ou pour un non donc les gens font attention à ce qu’ils disent et ne savent plus trop ce que l’on peut dire ou pas.
On peut par exemple dire “homosexuel”. Mais est-ce que l’on peut dire “pelaka” ou “pédé” sans risquer un procès ?
Oui, c’est vrai. Et vous avez raison de prendre des gants… En fait, je voulais signaler cette ambiance de l’hypocrisie générale, qui du reste, n’est la faute de personne en particulier.
Et le bois de Boulogne, ça ne vous tente pas?
Dans la nuit noire on vois seulement les dents blanches de la black ….
Je sors … 🙂
chut!
Tsy manaiky atao hoe africains hono nefa ny fomba fisainana sy ny atao rehetra mitovy amindry zareo africains daholo 🙂
ny fomba fisainana mitovy? tsia: ambanin’ny africain no marina. Ny africain mandroso, ny gasy mihemotra.
Marina kay zany, tsika mbola ambanindry zareo tena afrikanina , zareo zao no mihomehy antsika 🙂
Na ny Kômôriana ambanianny gasy aza efa tafa nohon’ny gasy
Il n’y pas qu’à Antaninarenina, les ateliers de réparations de moto qui monopolisent les trottoirs, les kiosques tel, les commerçants et enfin les 4’mis qui s’installent un peu partout.
De scooter et non de moto.
oui parce que moi, j’ai un routiere pas ces scooter la!
La solution, une lance de pompier haute pression 🙂
Tout a commence quand Razanamasy voulant trop bien faire avait juxtaposee cette statue de Tsiranana cachant le vatolahy du retour de l’independance: completement inesthetique et encombrante. Cette deuxieme statue auraie eu une meilleure place sur un coin du jardin avec la possibilite de discourir librement sous les yeux de dadabe Philibert. Maintenant ce sont des mpivaro-dasopy qui s’asseoient dessous.