Qu’en dire ? Que pour Madagascar il y a du boulot ? Beaucoup de boulot même ?
Peste, pauvreté, saleté : un trio infernal qui a encore de beaux jours devant lui dans la Grande île.
La facture de tout ce qui n’a pas été fait ces 60 dernières années commence à devenir salée, très salée.
à Madagascar Pauvreté rime avec Saleté, et bien sûr avec paresse. Laver la figure de son enfant; se laver, nettoyer sa cour, c’est impossible parce qu’on est pauvre.
Pourtant en sensibilisant (et en insistant) ça marche. Mon gardien par exemple, un gros voretra à l’origine, il sait maintenant que le moindre papier qui vole dans la propriété je ne supporte pas et donc il fait attention.
ce n’est pas une sensibilisation ça, c’est une contrainte 🙂
Et bien si c’est la seule manière qui marche ..
Une sensibilisation sous la contrainte 🙂 . Et c’est déjà beaucoup. Si l’état faisait son boulot, c’est ce qu’il devrait faire, de façon à instaurer la fameuse peur du gendarme qui est à la base de beaucoup de choses.
On va appeler Jupiter à la rescousse…
Pourquoi pas Hercule? pour un travail de plus 🙂
Élimination de la pauvreté = élimination des pauvres ?
Moi dans l’ordre de priorité, j’aurais choisi : Saleté, peste et pauvreté. Il faut assainir les quartiers avant de s’attaquer à la peste ou tout du moins en même temps.
Vous aurez beau assainir comme un malade, si ça reste pauvre dans la tête dès le lendemain ça redeviendra crade.
c’est ça l’erreur: la peste pulmonaire se transmet dans un endroit parfaitement propre!