Et vous y allez encore quand même.
Donc désolé mais vous êtes donc prêt(e)s à y subir les pires crasses ?
Bon bah c’est votre choix, ne venez pas faire des vidéos pleurnichardes après coup, vous l’avez cherché non ?
Je sais pas ce qui n’est pas clair dans le “n’y allez pas”. Don’t go there. Aza makany.
C’est bon, c’est rentré dans le coco ?
J’avoue que ne comprends pas comment on peut avoir l’envie d’y vivre après tout ce qui s’est passé, sauf si on n’a d’autres choix qu’entre l’Afghanistan et la Somalie
C’est clair. Quand on est majeur, on est libre et responsable de sa propre décision : bonne ou mauvaise soit-elle.
Ka mbola eo prezida hapody an’i zareo mainmainpona no mbola mahazo argent de poche koa avy eo e! Vonjeo zahay prezida fa mijaly aaaa.
et puis pourquoi ne pas accepter leur comportement puisque vous avez choisi d’aller chez eux. Les Saoudiens disent “zay zany mihitsy”,
C’est tellement vrai, mais il y a celles qui n’en savent rien. De là où elles sont, on leur promet un salaire de un million d’ariary par exemple, du jamais vu au village. Elles ne savent même pas ce que cela vaudrait en Arabie Saoudite. On leur fournit un passeport et un billet d’avion gratos et la famille est toute fière d’avoir un enfant qui va travailler à andafy. C’est seulement là bas qu’elles se rendent compte de la…réalité…trop tard. Les intermédiaires qui les ont “vendu” auraient déjà empoché les sous. Et si l’tat voudrait vraiment empêcher cela, ça aurait été fait mais ce n’est pas la volonté, c’est toujours mieux de jouer au zorro.
Après, elles devraient aussi se renseigner au peu avant de sauter le pas, à moins qu’elles soient manipulées dès le départ. Avant c’était le Liban mais l’Arabie Saoudite est nettement pire
Koweït sy Emirates (Dubaï ,Abudabi …) no be mpandeha ,mais ce n’est pas mieux
Marina izany. Je me souviens encore d’une jeune petite femme toute frêle qui était à côté de moi dans l’avion au départ d’Ivato. Au moment de remplir les fiches sanitaire et d’embarquement, je voyais bien qu’elle avait des difficultés. Je l’ai aidé en la proposant de remplir ces fiches pour elle et c’est là que je réalisais qu’elle ne savait pas lire / écrire. Elle ne savait même pas reconnaitre son numero de passeport sur celui-ci. Au fil de la discussion, j’ai appris qu’elle transitait par Maurice/ Dubaï pour aller travailler au Koweit.
Je voyais déjà toute la galère dans laquelle elle se lancait et les exploitations à venir sans aucun doute. Je ne sais pas ce qu’elle est devenue mais j’espère juste qu’elle soit heureuse là où elle se trouve.
Peut être enterrée par un bulldozer dans un terrain vague,
On disait toujours que ce ne sont pas tous les employeurs qui sont cruels envers ces femmes. Mais j’ai une théorie: celles qui “s’en sortent” ont peut-être (oui, c’est une affirmation gratuite 😛 ) joué le jeu, c’est-à-dire accepté certaines “exigences” des employeurs et font avec, et les autres qui ont refusé paient le prix fort et celles qui sont encore vivantes demandent ensuite à rentrer
celles que je connais et qui sont revenues saines et sauves, et y reviennent après quelques semaines de vacances au pays ont “joué” -é pas i-le jeu comme le dit mpijery!
Ataovy amin’ny fiteny tavaratra fa reo no tena be loha mbola makany,asa angaha nahoana nefa any amin’ireo feno lavanila …
et le plus bizarre c’est qu’ils n’offrent jamais aux “mecs”, allez savoir!
les mecs n’ont pas de trou, et puis les femmes ne sont pas libres la-bas! hihihihi
a mon époque il y avait une bonne raison d’y aller salaire *3 net d’impôts, et un petit gout pour l’aventure aussi, et puis il y a des coins superbes….
des filles aussi dont vous ne connaitrez que les yeux et les mains baladeuses entre les rayons de supermarche…..
et à la fin la lame effilée d’un cimeterre sur le cou! hihihihihi!