Se prétendant employés ou envoyés de tel ou de tel ministère, ils se présentent chez vous et vous demandent une petite « participation ».
La parade est simple : vous leur répondez que vous n’avez pas d’argent sur vous et s’il peut repasser le lendemain pour récupérer son argent.
Et dans l’intervalle vous appelez la Police économique.
et vous serez embarqué par la police économique 🙂
@mclient,
Il y a de forte chance oui.
@mclient, ah oui, celà ils adorent çà embarqué des gens
Il faut leur répondre que vous n’avez pas l’intention de participer au bien être de claudine dans sa résidence dorée..
Ça existe depuis des années ça..
Et si vous lui donnez un peu même très minime ils vont prendre et être content mais le problème c’est qu’y yaura des dizaines d’autres légèrement différents qui seront informés qu’ici yen a et tout les jours yaura des demandeurs! Welcome to madagascar!
ça me fait rappeler le célèbre « multipliez vous et remplissez la terre » de la Genèse. 🙂
Une « participation » à quoi selon eux?
@kof, au bal de la Police par exemple. Ou l’Amicale des anciens du Ministère. etc.
@elman, Et en quoi, toujours selon eux, ça concerne le citoyen lambda?
@kof, puisque vous ne venez plus leur demander un « service », c’est eux qui viennent récolter la « participation » chez vous.
@kof, non en fait ils rendent visite aux entreprises, professions libérales, etc.
On ne voit que des mauvaises nouvelles ces temps-ci. Avec toute ces mauvaises choses, on finit par être extrêmement méfiant, et cela mine la vie en société. Tant pis pour l’instant.
La solution de ce temps-ci c’est carrément refuser les opérations gâteaux, refuser les ventes de billets par-ci par-là, refuser les participations direct ou indirects que les fonctionnaires et autres entités organisent pour leurs amicales.
être généreux est possible, voire rencontrer la participation de tous, lorsqu’on a un système ou un cadre à qui on peut faire confiance.
Vive le jour de l’avenir où l’on puisse établir cette relation de confiance à l’autre.
@Marcus, et bizarrement quand on entre dans un « biraom-panjakana », il est écrit à l’entrée: « Tsy mandray invitation,quête, billet, …. »
Ok hoy aho fa manao selfie kely aloha isika alohan’izao mamoaka vola hihihi
Rien à avoir avec l’info mais quelques infrastructures ont été construise récemment à Madagascar par des entreprises chinoises, voici ce que cela pourrait donner :
Kenya: un pont construit par une entreprise chinoise s’écroule.
Un pont, en cours de construction par une entreprise chinoise pour un budget de 10 millions d’euros, s’est écroulé au Kenya, deux semaines après la visite du président sur le chantier.
Il a fait du développement des infrastructures de son pays le pilier de sa campagne pour sa réélection. Le président de la République kényane Uhuru Kenyatta, qui remet son mandat en jeu le 8 août prochain, pourrait bien se voir reprocher la mise en route de chantiers hasardeux.
Un pont, en cours de construction par une entreprise chinoise dans le comté de Busia, près de la frontière avec l’Ouganda, s’est écroulé lundi 26 juin. 27 ouvriers ont été blessés mais aucune victime n’est à déplorer.
Pour faciliter l’accès de la population aux écoles, marchés, hôpitaux.
Le pont Sigiri, qui devait être ouvert à la circulation dans le courant du mois de juillet, avait été commandité par le président kényan après qu’un bateau a chaviré dans la rivière Nzoia, en 2014, tuant les 11 personnes à son bord. Uhuru Kenyatta avait alors promis une solution pour éviter que ce type d’accident ne se reproduise, et pour faciliter l’accès de la population de la région aux marchés, aux écoles et aux hôpitaux.
Quinze jours avant l’incident, le président s’était rendu sur le chantier et avait déclaré: « Il y a une grande différence entre ceux qui font de la propagande et ceux qui vous proposent un véritable agenda pour le changement ». De nombreux habitants étaient venus assister au discours de Uhuru Kenyatta, dans cette région où les investissements publics font défaut depuis de nombreuses années.
Peu de temps après l’écroulement du pont, l’entreprise chargée de sa construction, la Chinese Overseas Construction and Engineering Company, a assuré que « tous les standards et spécifications requises par le commanditaire avaient été respectés ». La population de Busia devra encore patienter pour traverser la rivière en toute sécurité.
@vazaha be,
En fait c’est ici que j’aurais du mettre mon commentaire : http://www.actutana.com/rattraper-57-ans-de-retard/comment-page-1/#comment-10414
@vazaha be,
Normes requises par le commanditaire, ha ha
Entre autre, voici la commande:
– Pont pouvant s’écrouler avant sa finition,
– Utiliser le moins de ciment possible pour les bétons
– Surtout accepter le bas prix pour que je puisse me taper une grosse com.
ouuhhh, ça rappelle la bretelle de la francofolie ça!
c’est ca la chinoiserie.com ma belle
@arivony, C’est justement la raison de mon commentaire !
vive les vita sinoa hihihi
Ça commence à devenir de plus en plus comme le village d’Ambohimahadizina d’une ancienne chanson poétique de Samoela
Io no tananan’la
Tananan’ny tsy misy bedy
Tananan’ny tsy ay hoe ahoana
Ao no manaonao foana
Ao no manao kitoatoa
….
Misia miseho beloha
Fa omeko ny kongona fo
😀