Les candidats endémiques sont toujours aussi nombreux à vouloir se barrer et rejoindre la destination… clandestinement, sur des bateaux à moteur, au départ d’Ambanja.
Une filière qui attire d’ailleurs d’autres nationalités africaines, en tant que passeurs et passagers.
Les boat people n’ont même plus peur de mourir, ils sont prêts à tout pour se barrer du pays le plus pauvre du monde, rejoindre la France et le 101ème département français, à 368 kilomètres de là.
… et quitte aussi à finir au gagazo car c’est le traitement qui leur est réservé s’ils se font attraper : terminer dans les prisons endémiques 😳

C’est le bonheur le plus total à Madagougou dites donc. Et c’est loin d’être terminé.