Mais dans ce cas, quand est-ce que l’on osera passer le karcher dans les rangs de la Police et y purger les moutons noirs ?
Les faits divers impliquant des éléments de la Police sont légions et les mots utilisés dans la presse sont forts : « exactions« , « repaires de mafieux« , etc.
Bref, donner officiellement des armes et le permis de tuer à des jiolahimboto, ça craint.
Mais de toutes les façons quand on voit la gabegie depuis 2009, bon courage pour rectifier le tir.
Pour ma part, je ne ferais pas dans la dentelle : un policier impliqué dans des exactions c’est direct le peloton d’exécution.
Zay, vita, on n’en parle plus, au suivant.