Voulez vous vous entrainer avec ça ?
Monsieur Lamère a épousé Mademoiselle Lepère.
De ce mariage est né un fils aux yeux pers.
Monsieur est le père, Madame est la mère.
Les deux font la paire.
Le père, quoique père, est resté Lamère, mais la mère, avant d’être Lamère était Lepère.
Le père est donc le père sans être Lepère, puisqu’il est Lamère et la mère est Lamère bien que née Lepère.
Aucun des deux n’est maire.
N’étant ni le maire ni la mère, le père ne commet pas d’impair en signant Lamère.
Le fils aux yeux pers de Lepère deviendra maire.
Il sera le maire Lamère, aux yeux pers, fils de Monsieur Lamère son père et Mademoiselle Lepère, sa mère.
La mère du maire meurt et Lamère, père du maire, la perd.
Aux obsèques, le père de la mère du maire, le grand-père Lepère, vient du bord de mer et marche de pair avec le maire Lamère, son petit-fils.
petakaman dans Celui qui a chassé le dictateur…: “C’est exactement ce que nous devons faire: ne jamais anesthésier nos inquiétudes avec de l’espoir qui aveugle vite ou une…” 15/12/2025 à 09:16
Nifin'Akoho dans Celui qui a chassé le dictateur…: “Antsoina tsy tonga. Asaina miasa tsy miasa. Mandraisa anjara, aleo ataony ao. Andao ataontsika an’izao, sa ahoana ? Tsy mety…” 15/12/2025 à 04:39
Raglady dans Les pluies tombent, les eaux montent, les maisons tombent: “Dadabe Tsiranana no nanotitra voalohany nanao cité 67Ha Ny commune Antananarivo t@ andron’i Pasteur Andriamanjato tsy nanaiky nanototra fa nanangana…” 14/12/2025 à 19:33
Randria dans Les pluies tombent, les eaux montent, les maisons tombent: “Pendant ce temps, chez les autres : https://www.francebleu.fr/infos/transports/le-plus-long-telepherique-d-europe-ouvre-ce-samedi-dans-le-val-de-marne-4008100 Inauguration garantie 0% de werawera ou de descente en rappel népotiste.” 14/12/2025 à 13:02
petakaman dans Les pluies tombent, les eaux montent, les maisons tombent: “Le Grand Andrianampoinimerina a dit “Ny Betsimitatatra dia toerana ambolena faha tsy ipetrahana sy hanorenana fonenana”. Aussi moyen âgeux qu’ils…” 14/12/2025 à 09:16
Raglady dans Mais pourquoi Dubaï précisément ?: “Manontany ny mpandray entana hoe ianao izao no mitondra, afaka mifanaraka ve isika ohatrany nataon’iraika lahy taloha” 14/12/2025 à 08:56
2017 ????????????
Aiza ka no misy anizany ? (l’air innocent) 🙂
mdrrr
Avec l’effet sms, sortir directement un livre de perles à l’issue serait un bon business.
Il faut commencer l’entraînement (ou entrainement,orthographe rectifiée de 1990) : donc février avec un accent aigu.
Bien vuuu 🙂 Bon, si je participe vraiment à ce concours, je m’y mets sérieusement 🙂
tokony tsy rehefa mandeha any vao manoratra sans faute fa maninona raha hatomboka eto @ actutana?
Indrindra ny teny Malagasy.
zany mihintsy
Mba mamela re ô. Roa taona ihany ny tena no tetsy @ epp ankadinandriana sy ceg avaradrova 🙂
Et on emmène une grande pancarte, “allez, Actutana!!” hahaha
Le plaisir partagé !
Toutes categories io ka!
na teny malagasy zany na teny vahiny 🙂
Antitra sy tanora, na lahy sy vavy kosa angamba. Raha tsy izany dia natao hoe Soratononina sy Dictée.
aah le soratononina de feu Jarisoa .. Rip, c’était mon chef quand j’étais scout, il y a bien longtemps..
Voulez vous vous entrainer avec ça ?
Monsieur Lamère a épousé Mademoiselle Lepère.
De ce mariage est né un fils aux yeux pers.
Monsieur est le père, Madame est la mère.
Les deux font la paire.
Le père, quoique père, est resté Lamère, mais la mère, avant d’être Lamère était Lepère.
Le père est donc le père sans être Lepère, puisqu’il est Lamère et la mère est Lamère bien que née Lepère.
Aucun des deux n’est maire.
N’étant ni le maire ni la mère, le père ne commet pas d’impair en signant Lamère.
Le fils aux yeux pers de Lepère deviendra maire.
Il sera le maire Lamère, aux yeux pers, fils de Monsieur Lamère son père et Mademoiselle Lepère, sa mère.
La mère du maire meurt et Lamère, père du maire, la perd.
Aux obsèques, le père de la mère du maire, le grand-père Lepère, vient du bord de mer et marche de pair avec le maire Lamère, son petit-fils.
Pas terminée à cause du limitateur de logorrhée…
Dictée Bernard PIVOT an ! ah la belle epoque