
Clément Varanges
Symbole malgré elle de la centaine de blessés dans les manifestations à Madagascar, selon l’ONU, Mirana reste alitée sur le ventre depuis le 25 septembre : un tir de grenade lacrymogène a arraché le bas du dos de cette étudiante de 19 ans, raconte-t-elle à l’AFP.
« La première bombe m’a fait tomber à terre, la deuxième, je ne sais pas si elle a atterri sur moi ou juste à côté mais elle m’a arraché le haut de la fesse », dit celle qui devait commencer ce mois-ci un stage pour sa licence de commerce international