
La génération Z et les syndicats, qui ont rejoint le mouvement de protestation, ont fait face à une violente répression jeudi 9 octobre à Antananarivo.
Derrière la mise en scène d’un simulacre de dialogue, c’est bien une répression méthodique contre la jeunesse qui le défie dans les rues pour réclamer des conditions de vie décentes qu’a choisi le président Andry Rajoelina.