Euh.. vu par un stagiaire de chez Midi Madagascar plutôt non ?
Lire : Libéré par ses ravisseurs : Moustafa Hiridjee raconte ses 7 jours de séquestration
Le récit est un peu.. comment dire … laborieux ? On ne sait plus qui raconte entre le rédacteur et le kidnappé, le kidnappé qui devient il puis elle, etc.
Non ce n’est même plus un problème de compétence journalistique : c’est tout simplement savoir parler et écrire en français.
Quand on ne sait pas écrire en français, autant écrire en malgache ? Il n’y a pas de honte à le faire.
Le problème est qu’on ne sait pas écrire même en malagasy. C’est pire
moi, j’ai compris. Quand il (ou elle) parle de la victime, il (ou elle) utilise « elle ».
Quand il (ou elle) parle du kidnappé ou Mr Hiridjee, il (ou elle) utilise « il ».
Non désolé c’est pas ça : 🙂
« Une période durant laquelle, ELLE affirme avoir vecu le pire de sa vie et qu’IL ne souhaite pas arriver à personne »
Une période durant laquelle, la victime affirme avoir vecu le pire de sa vie et que Mr Hiridjee ne souhaite pas arriver à personne »
A ce compte-là c’est de l’art 🙂
Il est à noter que c’est la première fois qu’une victime de ce genre de crime a accepté de témoigner comme il a fait Moustafa Hiridjee
Convaincu!
Pas mal, pas mal! Je n’arrive plus très bien à saisir les cheminements mentaux en vigueur à Mada. 🙂
ne pas oublier que le pays s’appelle Madagascar!
Il n’y a aucune raison de savoir mieux écrire en Malgache qu’en Français. Le malgache est au moins aussi difficile que le français. Les 2 langues requièrent de la compétence. Souvent ce n’est pas la langue le problème, c’est le locuteur ou le rédacteur. Je mettrais ma main à couper que cette personne ne s’en sortirait pas mieux en malgache.
Il a pondu ça en 3 minutes sans relecture, je ne vois que ça comme explication
Et il n’y a pas de relecteur à Midi ? Ou de rédacteur en chef ?
c’est le rédacteur en chef et pour lui pas de relecteur
wow
Il faut dire que non car déjà dans le premier paragraphe, c’est un vrai massacre
un des problèmes de ce pays est peut être que journalistes et policiers sont des amateurs, quand dahalo et ravisseurs sont des professionnels…
c’Est Napoléon qui avait dit que « pour garder des bandits, il en faut de plus grands »
Non mais avec ce genre de fautes, on n’écrit pas pas! C’est une question de crédibilité!
On peut lui enlever les fautes d’orthographe. C’est déjà ça.
Mais les fautes de syntaxe, non! Car contrairement aux premières, où le sens de la phrase ne change pas trop dans la plupart des cas, ici, c’est assez déroutant.
Quand dans le deuxième paragraphe il décrit, puis il se met à la place de kidnappé dans la phrase suivante sans aucun signe de ponctuation ou de phrase de transition, j’ai mal à la tête.
le calvaire en question est il réellement crédible ? 🙂
Pas fair-play de relever les faiblesses d’un « confrère ».
Si ça se trouve, il rédige mieux en français qu’en malagasy.
Ah bah moi vu qu’on me massacre pour un pluriel oublié, je vais pas me gêner 🙂
Et puis qui aime bien châtie bien.
Ny tenako anefa dia mahazo tsara ny zavatra soratany. Ny mahatonga izany dia satria ny eritreriny amy teny gasy no ezahiny avadika teny frantsay. Tsy hitovy amy zavatra soratan olona misaina amy teny frantsay ary manoratra izany avy hatrany. Ny ankabeazan ny Malagasy izay tsy mampiasa ny teny frantsay andavan andro, ary indrindra mbola tsy nifanerasera maharitra tamin olona miteny frantsay tena izy, dia mamokatra teny frantsay aratifisialy tahaka an io daholo rehefa manoratra…
N’y a-t-il pas eu des corrections pour ce genre d’article?