Une bonne gestion de l’eau s’impose. Comment stocker ces eaux pour les utiliser a innoder nos plaines en saisons seches et nous fournir une source d’electricite?
Dam Dam Dam!
Dernière modification le 8 mois il y a par ranaivo
ericrazafy
8 mois il y a
Ces ponts ne se sont pas effondrés tous seuls mais des gasy ont emprunté les dalots métallique qui étaient dessous, et donc hop, à la merci de la première pluie. La mode actuelle sur les routes nationales
la technique c’est d’enlever la terre autour des dalots et aux premières pluies, l’eau va s’infiltrer dedans et emporter toute la terre, il ne reste plus qu’à tirer dehors les dalots! nandresy ny tolona
angady
8 mois il y a
les pluies, c’est naturel. le problème c’est quand la terre a été tellement défrichée qu’elle n’est plus capable d’absorber l’eau. c’est quand les canaux d’évacuation déjà si minuscules sont bouchés par toutes sortes d’immondices. et ce n’est pas prêt de s’améliorer vu qu’il n’y a aucune éducation donnée en ce sens, sinon c’est tellement peu que ça en devient ridicule.
Soit.. mais on essaie quand même de composer avec dame nature .. en l’exploitant au mieux
Il suffit de googler “méga bassines” et de l’adapter au contexte endémique.
Mais bon, vu que imagination et créativité ne sont pas les points forts de ces pineurs …
Il serait techniquement très facile d’installer d’autres retenues d’eau comme Mantasoa et Tsiazomparany (des merveilles qui stockent des quantités d’eau inimaginables).
Cependant, inonder les bas-fonds de tout un bassin versant signifie immerger toutes les rizières qui y sont systématiquement installées.
Que deviendront ces ruraux dont toute la subsistance provient de ces rizières ?
L’equation reste complexe.
Mais je pense qu’il faudrait le faire avec des mesures d’accompagnement des populations impactées.
C’est maintenant qu’il faut agir. Dans 10 ans il sera trop tard, et la famine s’installera.
Que deviendront ces ruraux dont toute la subsistance provient de ces rizières ?
Sachant que Gougouland c’est 58 millions d’hectares, on devrait pas avoir trop de mal à les recaser ?
Là oui des expropriations seraient un peu plus justifiées, avec des motifs hautement stratégiques. Pas comme pour les con*neries de Tanamasoandro et consorts.
moi, tous ces travaux et réalisations d’autrefois me rendent pensif: les outils etaient très rares et pourtant ils ont fait de très belles réalisations, actuellement les outillages innondent le marché mais les pseudo artisans ne savent pas s’en servir: un niveau à bulle coute 6 000ar (1€) mais regardez les murs qu’ils erigent!
Rahandy dans Bah quoi, où est le problème ?: “Il n’a peut être jamais fait, il croit que c’est la jouissance, donc interdit.” 13/11/2024 à 20:58
patriot dans Bah quoi, où est le problème ?: “Et même si on arrose le jardin avec l’eau de la jirama, il est où le problème? on paye la…” 13/11/2024 à 19:01
Coco dans Bah quoi, où est le problème ?: “L’autre fois, cela m’a traversé l’esprit : Il y en a qui aime bien s’afficher sur les réseaux pour bien…” 13/11/2024 à 16:14
patriot dans Alors, cette usine de coton de Tuléar ?: “il n’a jamais changé le gars, dès qu’il obtient un micro, il ne peut s’empêcher de dire des c*nneries” 13/11/2024 à 14:09
elman dans Bah tu veux exporter quoi ?: “curieux.. il y avait eu ça aussi https://actutana.com/depeche/un-reunionnais-de-61-ans-assassine-la-gorge-tranchee/” 13/11/2024 à 12:51
Raza dans Bah tu veux exporter quoi ?: “Mon ami réunionnais qui exportait des oignons de Tuléar vers la Réunion est mort hier. On ne sait de quoi.…” 13/11/2024 à 12:41
Raza dans Alors, cette usine de coton de Tuléar ?: “Les usines existent déjà depuis longtemps : Mais on peut lire ici que tout est parti en sucette en 2010…” 13/11/2024 à 12:32
Raza dans Balthazar à Fianarantsoa: “Vu la végétation et le falafa sur les toits, ça me semble plutôt sur la côte. Province de Fianarantsoa, c’est…” 13/11/2024 à 12:09
babakaty dans Et encore une énième année qui va se terminer: “Et je suis déjà entré dans une propriété, certes appartenant à un grand industriel vazaha,du côté de Tsarasaotra ,qui a…” 13/11/2024 à 11:25
Une bonne gestion de l’eau s’impose. Comment stocker ces eaux pour les utiliser a innoder nos plaines en saisons seches et nous fournir une source d’electricite?
Dam Dam Dam!
Ces ponts ne se sont pas effondrés tous seuls mais des gasy ont emprunté les dalots métallique qui étaient dessous, et donc hop, à la merci de la première pluie. La mode actuelle sur les routes nationales
la technique c’est d’enlever la terre autour des dalots et aux premières pluies, l’eau va s’infiltrer dedans et emporter toute la terre, il ne reste plus qu’à tirer dehors les dalots! nandresy ny tolona
les pluies, c’est naturel. le problème c’est quand la terre a été tellement défrichée qu’elle n’est plus capable d’absorber l’eau. c’est quand les canaux d’évacuation déjà si minuscules sont bouchés par toutes sortes d’immondices. et ce n’est pas prêt de s’améliorer vu qu’il n’y a aucune éducation donnée en ce sens, sinon c’est tellement peu que ça en devient ridicule.
Soit.. mais on essaie quand même de composer avec dame nature .. en l’exploitant au mieux
Il suffit de googler “méga bassines” et de l’adapter au contexte endémique.
Mais bon, vu que imagination et créativité ne sont pas les points forts de ces pineurs …
Il serait techniquement très facile d’installer d’autres retenues d’eau comme Mantasoa et Tsiazomparany (des merveilles qui stockent des quantités d’eau inimaginables).
Cependant, inonder les bas-fonds de tout un bassin versant signifie immerger toutes les rizières qui y sont systématiquement installées.
Que deviendront ces ruraux dont toute la subsistance provient de ces rizières ?
L’equation reste complexe.
Mais je pense qu’il faudrait le faire avec des mesures d’accompagnement des populations impactées.
C’est maintenant qu’il faut agir. Dans 10 ans il sera trop tard, et la famine s’installera.
Maintenant.
Sachant que Gougouland c’est 58 millions d’hectares, on devrait pas avoir trop de mal à les recaser ?
Là oui des expropriations seraient un peu plus justifiées, avec des motifs hautement stratégiques. Pas comme pour les con*neries de Tanamasoandro et consorts.
moi, tous ces travaux et réalisations d’autrefois me rendent pensif: les outils etaient très rares et pourtant ils ont fait de très belles réalisations, actuellement les outillages innondent le marché mais les pseudo artisans ne savent pas s’en servir: un niveau à bulle coute 6 000ar (1€) mais regardez les murs qu’ils erigent!