Madagascar peut il être fier de ses 65 années d’indépendance

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Dépêche Madagascar > Madagascar

Simple question innocente posée à Gemini 🤣

Madagascar a obtenu son indépendance le 26 juin 1960. Au moment où nous sommes en juin 2025, cela fera donc 65 ans. La question de savoir si Madagascar peut être fier de ces 65 années d’indépendance est complexe et nuancée.

Du côté des défis et des raisons d’un bilan mitigé, on peut noter :

  • Instabilité politique: L’histoire post-indépendance de Madagascar a été marquée par des périodes d’instabilité politique récurrentes, incluant des coups d’État, des crises électorales et des changements de régime. Cela a eu des conséquences néfastes sur le développement du pays.
  • Pauvreté persistante: Madagascar reste l’un des pays les plus pauvres du monde. Le revenu par habitant a même diminué de 45% entre 1960 et 2020. Une grande partie de la population vit toujours sous le seuil de pauvreté, en particulier dans les zones rurales.
  • Développement économique insuffisant: Le pays a connu des phases de croissance économique suivies de récessions dues aux crises politiques ou économiques. Le secteur agricole, qui domine l’économie, est principalement axé sur l’agriculture de subsistance, avec de faibles rendements et des problèmes de transport.
  • Faible gouvernance et corruption: La gouvernance faible, la capture des institutions par les élites et un niveau élevé de corruption sont des problèmes majeurs qui entravent le développement et la confiance des citoyens dans les institutions étatiques.
  • Infrastructures limitées: L’accès à l’électricité est faible, surtout en milieu rural, et le réseau routier est en très mauvais état, limitant la commercialisation des produits et la connectivité des régions.
  • Vulnérabilité aux chocs climatiques: Madagascar est très exposé aux catastrophes naturelles, qui coûtent au pays environ 1% de son PIB chaque année et ont un impact dévastateur sur les populations les plus vulnérables.

Cependant, il y a aussi des aspects dont Madagascar peut être fier ou qui représentent des points positifs :

  • La souveraineté nationale: L’indépendance a permis à Madagascar de prendre en main son destin, même si cela a été semé d’embûches. La capacité à décider de ses propres politiques est un acquis fondamental.
  • La richesse culturelle et naturelle: Madagascar est un pays à la biodiversité exceptionnelle et à la culture riche et unique. Cette identité forte est une source de fierté pour les Malgaches.
  • Une certaine résilience: Malgré les crises et les difficultés, le peuple malgache a fait preuve de résilience.
  • Des avancées sociales limitées mais existantes: Bien que la pauvreté reste élevée, il y a eu des améliorations dans certains indicateurs non monétaires de la pauvreté, notamment l’accès à l’électricité, à l’assainissement, au logement et aux combustibles de cuisson dans certaines régions.
  • Un potentiel inexploité: Madagascar possède d’énormes ressources naturelles et un potentiel pour le développement des énergies renouvelables.

En conclusion, si Madagascar a encore un long chemin à parcourir pour atteindre un développement durable et une stabilité durable.

La fierté de ses 65 années d’indépendance peut résider dans la préservation de sa souveraineté, de son identité culturelle unique et la résilience de son peuple face aux nombreux défis.

C’est un bilan mitigé, où les aspirations de développement et de progrès se heurtent encore à des réalités complexes et des obstacles structurels.

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Doraadm
Doraadm
6 heures il y a

Mba nanadrana Gemini koa t@ fanontaniana hoe :
Madagascar: Meilleure période de gouvernance ?

Dia niodina niodina teo izy efa ho 15 minute dia ito ny valiny :

L’examen des périodes de gouvernance de Madagascar depuis l’indépendance révèle une histoire de potentiel inexploité et de progrès souvent entravés par des crises récurrentes. Bien qu’aucune période ne puisse être désignée comme uniformément « la plus développée » ou « la plus agréable à vivre », l’ère de Marc Ravalomanana (2002-2009) se distingue par ses initiatives de développement économique et ses investissements sociaux significatifs, malgré une dérive autoritaire qui a finalement conduit à sa chute. Les premières années de la présidence de Philibert Tsiranana (1960-1972) ont offert une certaine stabilité et des investissements sociaux, mais ont été minées par la dépendance économique et une répression croissante

tsytiafoza
tsytiafoza
Répondre à  elman
6 heures il y a

Tsy isalasalana fa Rasedy no le plus nul!

Nifin'Akoho
Nifin'Akoho
5 heures il y a

Ny ahy ndray dia ireto miaramila ireto na dia misy havana akaiky ihany am zalah reo. Tsy mampirehereha ny manana an zalah ireto. Ataoko fa raha nandroso ary isika dia inoako fa tamin’ireo ihany no nisian’ny fanonganam-panjakana.

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