Gné ? Oui bon d’accord, ceux qui sont abonnés à Canal+ m’auront grillé 🤣 Effectivement, je suis en train de regarder le film policier du même nom, « Canicule », avec un scénario se déroulant donc en Australie.
Re gné, « canicule » ? Donc potentiellement problèmes d’eau en Australie ? Ni d’une ni de deux hop le grand curieux qu’est votre serviteur a donc immédiatement googlé le sujet.
Et waouh, après la lecture rapide de quelques articles, effectivement le sujet de l’eau est également très sensible en Australie ! Avec des mots clé furieusement familiers comme faible pluviométrie (des fois des années sans la moindre pluie), pénurie d’eau, dérèglement climatique et toussa.
Mais contrairement aux endémiques, les gouvernements australiens successifs ont énormément planché sur le sujet pour toujours trouver des solutions.
Et chez eux le problème n’est absolument pas récent puisqu’ils sont apparus il y a quelques siècles déjà… plus précisément du temps de la colonisation de l’Australie, waaa…
Et sans surprises, des solutions ils en ont trouvé, eux. Multiplications des barrages de retenue d’eau, réservoirs d’eau (bah voyons), desalinisation de l’eau de mer (waaa), gestion rationnelle de l’eau quand la crise est forte, réorientation de la flore et de l’agriculture et plein d’autres machins et bidules.
Bref, comparé à l’Australie, vos problèmes d’eau à Madagougou c’est franchement pipi de chat hein.
Et les super champions endémiques devraient eux aussi googler sur cette problématique de l’eau en Australie, et surtout s’inspirer des solutions trouvées par les vrais champions en la matière 🤣
Mais encore une fois, il n’y a pas de solutions divinement miraculeuses : on s’attelle sérieusement à une vraie gestion rationnelle de l’eau, en érigeant les infrastructures qu’il faut, et zay, vita, le problème est géré comme il se doit. Il n’y a pas à réinventer la roue ni à se poser comme le super-saveur.
Car c’est un chantier qui va bien au-delà de l’hubris de certains, c’est une cause nationale qui nécessite une réelle continuité de l’État, et donc qui va bien au-delà des petites contingences individuelles.
Donc non il ne suffit pas d’anoner un « nouzalon nous inspirer des solutions australiennes tompokolahy sy tompokovavy« . Il faut aussi comprendre son système étatique et gouvernemental, comprendre les enjeux environnementaux, disséquer toutes les décisions qui ont été prises et toussa.
Mais bon, en se présentant en 2018 on croyait que tout ceci était déjà su et maîtrisé ? Qu’il n’y avait plus qu’à et qu’il suffisait de ?
Et bah on dirait bien que non ? En tous les cas, la situation catastrophique de l’eau en 2024 démontre clairement que ce n’est pas le cas.
Et tant que vous y êtes en Australie, intéressez-vous également à leur impressionnante production électrique via les énergies renouvelables.
Marina io. Efa ela ny olan’ny rano any amin’io firenena io.
.
Ny eto amintsika indray, ny rano misy fa ny fifehezana azy no tsy ampy na tsy misy.
Betsaka renirano Madagasikara. Ny farihy koa tsy vitsy. Misy boky azo iasana tsara mikasika an’io. Androy, tany milevin-drano (hiran’i Vaovy). Misy ny rano fa anjaran’ny mpitondra no mifehy azy.
Fifehezana ny rano ety ambonin’ny tany aloha no atao. Raha azo atao tsy ritraina ny any ambany tany. Izay ilay fandrosoana lovainjafy.
.
Betsaka koa eto ny karazan-drano am tavoahangy plastika amidy. Midika zany fa feno loharano mbola madio i Madagasikara. Ny mpibizina no mifehy azy, ilay iray zay ary misy logo mpiangonana
betsaka koa ny harena an-kibon’ny tany kanefa io izy io : top 5 des pays les plus pauvres du monde.