On poursuit notre exploration de la navette spatiale en nous intéressant aujourd’hui à son mode de suralimentation 🙂
Tordus les gars qui ont imaginé ce schéma là 🤣
Du coup en réel ça donne ça. Le principe en (très) gros est qu’à bas régime ça passe par le « petit turbo » (numéroté 110 sur ce schéma) puis une fois dans les tours, le « gros turbo » (numéroté 120) prend le relais. Et la pression de suralimentation est en permanence contrôlée/régulée par volet, wastegate, bypass et tout le tralala.
Et donc au volant ça donne quoi toussa ? Et bien au volant ça donne qu’à bas régime vous n’avez plus le « trou » caractéristique des systèmes « mono » turbo, suivi du « coup de pied au c** » quand ledit turbo s’enclenche enfin vers les 3000 tr/mn.
De fait, la puissance vient quasiment instantanément dès que vous accélérez, et effectivement c’est assez véloce à l’accélération, nonobstant le poids de la bête 🤣
Et me voila donc au volant d’un « Biturbo 16« , car on dispose bien évidemment des désormais classiques 16 soupapes.
je comprends mieux maintenant ce principe de crafter « double turbo », grand merci, on apprend tous les jours ici
Et vu vos routes, on comprend mieux maintenant pourquoi ça atterrit fréquemment dans le décor. Même punition pour les Sprinter.