Pas d’eau, pas d’électricité, insécurité maximale, routes pourries, vols intérieurs faméliques, pauvreté partout, du caca sur les plages, des petits voretra partout et on en passe.
aah mais bien sûr, pour bien plonger dans l’ambiance endémique lol
za ihany
1 année il y a
Notre voyage de noces a été à Fort Dauphin (que je connaissais déjà) en janvier 2001. Le matin on a voulu longer la plage côté port (je n’ai jamais fait), il y avait encore les 3 épaves plus l’immense verrue que fut le Well Borne. Mon épouse était charmée du paysage depuis la fenêtre de l’hôtel. Mais une fois sur place, en voyant les innombrables « mines » sur le sentier ET sur le sable, tellement grande fut sa déception que depuis, nous avons adopté le terme « délit » pour qualifier ces défécations. et c’était début 2001….
Quelques années plus tard (2006), on a été à 30 kilomètres au nord d’Ifaty (Ambolomailaka). Arrivée de nuit. Le matin, un paysage spectaculaire avec les pêcheurs vezo et tout le tintouin. On est allé piquer une tête dans l’océan sauf qu’un troupeau de cochons (porcs) est venu nous rejoindre.
Comment voulez-vous rameuter du tourisme de masse avec cette réalité.
Il y a des problèmes vraiment basiques que nous n’arrivons pas à normaliser
Il y a des problèmes vraiment basiques que nous n’arrivons pas à normaliser
Indrisy … c’est toute l’histoire de ce pays lol.
Ça veut plonger dans le XXIe siècle alors que ça ne maîtrise même pas le pipi, le caca, l’eau et l’électricité.
quand le pere et la fille, la mère et le fils ne peuvent pas utiliser le meme wc parce que c’est fady(c’est incestueux de melanger les merdes de papa et de sa fille dans la fosse septique), quand on prefere miser sur un colisée, un stade un telepherique au lieu de regler les problèmes de la jiramaty, on revient toujours au prioritaire urgent et important et quand on ne sait pas cela, voilà le resultat
tsytiafoza
1 année il y a
A Ifaty, lorsque vous n’achetez pas de nourriture au niveau des marchands sur la plage, ils vous disent qu’il faudrait alors payer pour rester sur la plage car la place leur appartiennent (ou qu’ils sont les gardiens à qui le propriétaire a confié les lieux). Plus la peine de parler de Foulpointe …
Foulpointe faut éviter la plage commerciale du centre ville.. faut se décaler 1 ou 2 kilomètres vers la droite, Tolongoina si je dis pas de bêtises.
Là bas mer d’huile, sable fin sans caca et pas de vendeurs/plagistes agressifs.
Enfin à l’époque du moins, peut être que ça a changé depuis.
ranaivo
1 année il y a
Ni eau, ni energie, donc avec des guides touristiques maimbo helika sy maimbo …. ? Les seuls touristes qui viendront sont la peste, et le cholera
Tout sauf les bonnes choses monte en fleche au pays endemique. Et n’oubliez pas le cas des touristes « mis en barbecue » dans l’une de nos iles paradisiaques l’autre jour.
Dernière modification le 1 année il y a par ranaivo
Tabraka dans J’imagine ce Conclave à Madagougou: “A la sortie les cardinaux avec une malette ou un gony suivant leur importance” 09/05/2025 à 16:50
angady dans Mmmh ce communiqué du Malagasy Miara-Miainga: “les communiqués … c’est bien mignon mais tant que vous n’avez pas un minimum de pouvoir institutionnel, ça reste une…” 09/05/2025 à 15:55
Rafangy dans Nouzalon avoir 3 avions Let L-410 Turbolet le 26 juin: “avant 1980, l’armée malgache etait parmi les plus craintes, mais depuis les promotions par quotas, elle ne vaut plus rien,…” 09/05/2025 à 15:34
elman dans La princesse a des velléités écologiques: “Mais sans doute le ratio est très faible par rapport à tout les enfants du pays. C’est exactement ça. Alors…” 09/05/2025 à 15:32
ne pas oublier les petits rapts à l’aéroport
aah mais bien sûr, pour bien plonger dans l’ambiance endémique lol
Notre voyage de noces a été à Fort Dauphin (que je connaissais déjà) en janvier 2001. Le matin on a voulu longer la plage côté port (je n’ai jamais fait), il y avait encore les 3 épaves plus l’immense verrue que fut le Well Borne. Mon épouse était charmée du paysage depuis la fenêtre de l’hôtel. Mais une fois sur place, en voyant les innombrables « mines » sur le sentier ET sur le sable, tellement grande fut sa déception que depuis, nous avons adopté le terme « délit » pour qualifier ces défécations. et c’était début 2001….
Quelques années plus tard (2006), on a été à 30 kilomètres au nord d’Ifaty (Ambolomailaka). Arrivée de nuit. Le matin, un paysage spectaculaire avec les pêcheurs vezo et tout le tintouin. On est allé piquer une tête dans l’océan sauf qu’un troupeau de cochons (porcs) est venu nous rejoindre.
Comment voulez-vous rameuter du tourisme de masse avec cette réalité.
Il y a des problèmes vraiment basiques que nous n’arrivons pas à normaliser
Indrisy … c’est toute l’histoire de ce pays lol.
Ça veut plonger dans le XXIe siècle alors que ça ne maîtrise même pas le pipi, le caca, l’eau et l’électricité.
quand le pere et la fille, la mère et le fils ne peuvent pas utiliser le meme wc parce que c’est fady(c’est incestueux de melanger les merdes de papa et de sa fille dans la fosse septique), quand on prefere miser sur un colisée, un stade un telepherique au lieu de regler les problèmes de la jiramaty, on revient toujours au prioritaire urgent et important et quand on ne sait pas cela, voilà le resultat
A Ifaty, lorsque vous n’achetez pas de nourriture au niveau des marchands sur la plage, ils vous disent qu’il faudrait alors payer pour rester sur la plage car la place leur appartiennent (ou qu’ils sont les gardiens à qui le propriétaire a confié les lieux). Plus la peine de parler de Foulpointe …
Foulpointe faut éviter la plage commerciale du centre ville.. faut se décaler 1 ou 2 kilomètres vers la droite, Tolongoina si je dis pas de bêtises.
Là bas mer d’huile, sable fin sans caca et pas de vendeurs/plagistes agressifs.
Enfin à l’époque du moins, peut être que ça a changé depuis.
Ni eau, ni energie, donc avec des guides touristiques maimbo helika sy maimbo …. ? Les seuls touristes qui viendront sont la peste, et le cholera
.. avec un peu de sida aussi, dont le taux de prévalence a bien explosé ces temps-ci me semble-t-il
Tout sauf les bonnes choses monte en fleche au pays endemique. Et n’oubliez pas le cas des touristes « mis en barbecue » dans l’une de nos iles paradisiaques l’autre jour.
et comme c’est toujours à la pointe du be fikafika, gageons que les chantages à la castration verront aussi le jour lol