Les mediateurs internationaux sont repartis en catimini, les uns après les autres.
Et le bilan est que leur mission a complètement raté sur toute la ligne.
Là le triple ni de 2013 ils l’ont bien senti passer.
Donc du coup il ne reste plus que la vieille bonne option « malgacho-malgache » ?
Je suis hélas « kely-finoana » (peu de foi) en la matière, connaissant tellement bien la mentalité ambiante.
Mais je ne demande qu’à me planter lamentablement.
Échec et mat.
Nous attendons avec impatience ce que la HCC va nous pondre comme solution qui leur permettra de ne vexer personne et surtout pas ceux qui ont le doigt sur la queue de détente. Ni naturellement ceux qui ont le doigt sur le fermoir des mallettes.
Faut-il en rire, faut-il en pleurer ?
Il semble que le jeu assez cruel de qui a la plus grosse va continuer à faire des dégâts.
Et cela continuera tant que le dernier micro-gramme d’or aura été extrait par une firme étrangère.
Alors les dirigeants ne seront plus intéressant pour les saprophytes étrangers.
On sait que ce bordel a commencé le 21 avril 2018. Par contre on ne sait pas quand est-ce que ça va se terminer..
La manifestation a commencé le 21 avril 2018 mais le bordel a commencé bien avant.
beaucoup trop de médecins autour d’un malade un chouia psychotique et qui refuse tout soin
solution:
arrêter les perfusions ! (les aides)
laisser à ce malade le choix de retrouver lui même l’énergie vitale ou crever….
Quelles aides? les 10 milliards de $?
Les perfusionnistes n’ont pas intérêt à ce que le malade se porte bien. Sinon il mangerait leur part.
crever je pense pas que le malade le sera. il est très fort pour rester dans l’état de moribond
Je pense par contre que quelque chose de pas mal va en sortir. Nous ne sommes pas si con que ça. Ne sous estimez pas notre capacité de résilience.
Oui nous sommes très resilient : ça fait 60 ans que nous sommes debout. Mais nous allons tous bientôt crever. Sans avoir vu un seul mètre d’autoroute à Madagascar. C’est con ça.
Ces médiateurs ne sont que des sbires. Le « fanovàna » doit d’abord passer par notre sortie de ce protectorat à peine déguisé.