Question très simple posée à chatGPT.
Oui, l’extraction des terres rares présente un risque en matière de radioactivité pour les populations, bien que ce risque dépende du type de gisement et des méthodes d’extraction utilisées.
Pourquoi y a-t-il un risque de radioactivité ?
1. Présence naturelle d’éléments radioactifs
Les minerais contenant des terres rares, comme la monazite ou la bastnäsite, sont souvent associés à des éléments radioactifs comme l’uranium et le thorium. Lors de l’extraction et du traitement de ces minerais, ces éléments peuvent être libérés sous forme de poussières, de boues ou de déchets solides.
2. Gestion des résidus miniers
Après l’extraction, les déchets miniers (appelés « stériles ») et les résidus de traitement chimique contiennent encore des traces de thorium et d’uranium. Si ces déchets ne sont pas bien stockés, ils peuvent contaminer les sols et les eaux souterraines, exposant les populations locales à une radioactivité accrue.
3. Exposition des travailleurs et des populations voisines
– Les mineurs et ouvriers des usines de traitement sont les premiers exposés à la radioactivité par inhalation de poussières ou contact avec des boues contaminées.
– Les populations vivant à proximité peuvent être affectées par la dispersion des poussières radioactives ou la pollution de l’eau.
Quels sont les impacts possibles ?
– Augmentation du risque de cancers(notamment des poumons et des os en cas d’exposition prolongée au thorium ou à l’uranium).
– Contamination des nappes phréatiques, entraînant une exposition indirecte des populations à la radioactivité via l’eau potable.
– Pollution durable : le thorium a une demi-vie de plusieurs milliards d’années, rendant les sites contaminés dangereux sur le long terme.
Comment limiter ces risques ?
– Meilleure gestion des déchets : confinement sécurisé des boues et résidus miniers pour éviter la dispersion des éléments radioactifs.
– Surveillance environnementale : suivi de la qualité de l’air, de l’eau et des sols autour des mines.
– Protection des travailleurs : équipements de protection, limitation du temps d’exposition et surveillance médicale.
– Choix de gisements moins radioactifs : privilégier les minerais contenant peu de thorium et d’uranium.
Exemples de pays confrontés à ces risques
– Chine : premier producteur mondial de terres rares, avec des problèmes environnementaux majeurs dus à une mauvaise gestion des déchets.
– Malaisie : l’usine de raffinage de terres rares de Lynas est controversée en raison des risques liés aux déchets radioactifs.
– Brésil et Inde : extraction de monazite (riche en thorium), nécessitant une gestion stricte des résidus.
En résumé, l’extraction des terres rares présente bien un risque radioactif, mais ce risque peut être réduit avec des mesures adaptées.
en 2012, j’ai été à Fort Dauphin et visité les sites de QMM, et les gens m’ont dit que les rivières n’ont plus de poissons à cause des produits utilisés, je ne sais pas si c’est vrai ou non mais j’ai noté que les poissons d’eau douce sont plus chers,
Pour la Base Toliara, je n’arrive pas toujours à comprendre pourquoi nouzalon et sa clique s’empressent d’ouvrir cette base, alors que sous Rajao, ils étaient les premiers à denoncer ce projet
C’est pour encaisser les commissions .
Et comme Nouzalon n’y connait rien en sciences, il va dire que la radioactivité est un droit fondamental.
D’après vous ?
monnaie d’échanges avec l’AGOA? sa tsy misy idirany?
ka hoy ry nouzalon tamin’ny 2009 hoe izany AGOA izany afaka miasa amin’ny fibre optique ny mpiasa tao!tahaka ilay hoe raha mbola ireo mpampindrambola mahazatra no iarahantsika dia na amin’ny 2050 na 2060 aza tsy handroso mihitsy isika, dia amin’izao anefa tena ivavahana handohaliana mihitys ny banky iraisampirenena sy ny tahirimbola!
Du coup, même la Chine et la Malaysie sont confrontés à ces problèmes de déchets… et Gougouland pense faire mieux qu’eux ? Bah voyons lol
En Chine,il n’y a que les Chinois qui exploitent leus mines ,je ne sais pas ce qu’il en est pour la Malaysie ,mais pour Base Toliary,c’est une société américaine qui va l’exploiter ,et comme les deux autres grandes mines Ambatovy et QMM ,ce sera dans la rigueur des règles de l’art des Anglo-Saxons,comme ces deux mines. Citées ci dessus,les futures techniciens employés ont suivi des formations rigoureuses à l’extérieur (Kenya,Afrique du Sud et Canada)
mouais … espérons que cela ne finisse pas comme ceci https://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2012/07/19/en-chine-les-terres-rares-tuent-des-villages_1735857_3216.html
Prendre le problème à l’envers : si les terres rares malgaches sont radioactives et donc dangereuses, n’est-il pas bénéfique de les éloigner du pays en les exportant ?
Et les autochtones à côté on s’en fout ?
On ne peut pas faire des omelettes sans casser des oeufs disaient ils,des victimes collatérales du… développement.
Croyez-moi,je ne suis pas un fervent admirateur de ce régime,au contraire .Mais pour moi,il est nécessaire qu’on exploite industriellement nos resources minières.Ce sera un vrai levier de développement industriel du pays.Un politicien éclairé avait dit un jour ,il faut 6 à 7 autres Ambatovy pour un vrai take-off..Même les petits agriculteurs de la région Analalanga et une partie d’itasy et de Vakinakaratra ont trouvé leurs comptes au moment de l’apogée d’Ambatovy en fournissant des légumes…Je ne parle même pas des autres sous-traitants qui ont vu leurs chiffres d’affaires augmentés exponentiellement….
Les cadres et techniciens qui étaient les mieux payés du pays dans le privée ,des futures consommateurs en puissance ,qui vont faire tourner l’économie …
Je n’ai jamais trouvé à redire sur Ambatovy.
Mais entre le nickel et les machins radioactifs là c’est pas tout à fait la même chose.
Je préfère simplement prévenir … que guérir.
Il faut proportions garder. Qui prend plus de radioactivité entre un patient qui fait un scanner, un habitant d’une maison en pierre larguant son radon et un vezo assis sur un tas d’ilmenite depuis sa naissance ?
Je n’ai pas la réponse mais c’est sûr que l’on peut calculer toussa.
Moi non plus