No comment sur le contenu ! 

Celui du discours de Rajoelina était d’une platitude totale et malheureusement la différence entre les deux prestations était abyssale ! Concis, pensé d’un côté, poussif et banal, voire trop prévisible de l’autre. In fine, Rajoelina (mamim-bahoaka) était roulé dans la farine et remis à sa place implicitement ! En passant, Macron était effectivement visiblement gêné par le niveau d’intervention de son hôte ! Il avait dû se dire « Pu*ée ! Je ne pensais pas que c’est aussi bas ! »

Sur la forme, c’est encore pire ! 

La différence de niveaux est tellement mise en évidence par le naturel et la facilité d’élocution de l’un (on aime ou on n’aime pas, là n’est pas le problème) et le manque d’idées et le bafouillement flagrant de l’autre, pour ne citer que cela. Rajoelina a dû se dire « Pu*ée, j’aurais dû aller jusqu’au bac, au moins ! » L’élève devant le maître … Le bling-bling n’est pas de mise là.

Quand on ne peut pas tenir un prestation orale de 10 mn sans feuille (autre qu’une pense-bête), on ferait mieux de s’abstenir à certaines fonctions ! Comme diraient les « djeuns », il devrait avoir la honte !

Ce n’est qu’une opinion … 

Mais le rattrapage c’est le défoulement après l’épreuve oral devant Macron (il n’a pas connu de « vita bac » me semble-t-il), c’est l’ensemble du discours de la petite sauterie à l’ambassade. Passons sur la publicité du CVO + (dans le pays hôte où l’on mise sur les vaccins, c’est chaud quand-même, mais cela l’a soulagé je pense, complexe quand tu nous tiens), sur la propagande présidentielle avant l’heure en mentionnant des » zava-bita » qui ne tiennent pas la route (il a mentionné la RN2 🙂 )) si on veut parler de développement réel. Attendons le secod mi-mandat … Il y a eu beaucoup de mensonges, du moins des vérités cachées ! La demande régulière d’applaudissements récurrente était ubuesque. Le summum était l’annonce explicite des « voan-dalana » avec une auto-satisfaction minable : les boissons star à gogo, les bonbon coco et les pâtes de bananes pour la plèbe d’Andafy à l’ambassade. Il a perdu l’occasion de se taire ! Sachons que c’étaient du caviar, des crevettes, de la viande barea accompagnés de champagne et tutti quanti au palais Dauphine pour certains (et il n’y a pas d’assurance de signature de contrats en plus). Mais je crois que ce dîner offert avec les dettes (le noeud était limite ridicule, Sarkozy n’avait même pas mis de cravate 🙂 ) était une sorte de repentance autour d’une table bien garnie par rapport aux écarts de langage proférés contre la France (BM ne faisait bien évidemment pas partie de la bande) sur le pseudo-attentat. Et je n’oublie pas la « soupe aux cuirs de boeuf » pour la plèbe au sud du pays … Chut ! Silence, on mange.

Bref ! Tout marche à merveille dans le meilleur des mondes possibles ! Renimalala, nous voilà !