Je ne suis pas d’accord avec le SEFAFI sur ce point. IL suffit au Président de suivre de près la décision de la HCC (juste après le fameux mot « en conséquence »). dans la décision n°16-HCC/D3 du 3 mai 2018 de cette Institution, il y a juste 4 articles. Art 1, il suffit d’extirper la phrase anticonstituionnelle, Art 2: extirper une autre phrase non conforme à la constitution, en faisant attention de ne pas rajouter d’autres phrases, et l’Art 3 de la décision précise déjà que « sous réserves de (…)les dispositions des autres articles de la loi 2018-009 peuvent faire l’objet d’une promulgation ». C’est une procédure normale et le Président aurait déjà demandé l’avis de la HCC avant de promulguer. Il n’y a point de faire réélire par les députés la loi qui, si c’était le cas, risque de changer sens dessus-dessous. Si toutes les lois qui font des réserves de la HCC repassent à tsimbazaza, à chaque fois, il n’y aura pas de lois votées.