Comment ça on faim ? Bah oui on a faim, c’est ce que des habitants du côté d’Antaninandro ont bruyamment fait savoir hier en tapant avec leurs cuillères dans leurs assiettes, pour protester contre la hausse monstrueuse du coût de la vie 😯
Ils ont donc tapé dans leur assiette. Dans la rue s’entend.
Je crois que l’on a atteint le fond là ! Ou bien on continue de creuser ?
Mais pourquoi ils ralent!? Le président a fièrement annoncé avoir réduit le taux de pauvreté de 20%, c’est un exploit. Et un président ça ne ment pas! Non?
Il vient aussi de promettre aujourd’hui à Iavoloha de ramener ce taux de pauvreté à 30% d’ici les 10 prochaines années.
Ah, 2 mandats encore donc.
dia hifidy azy daholo ndray ny vahoaka , eisy e
Aza taitra, efa hiverina indray ny tsena mora zao fa efa manana plan d’émergence zandry atolony androany.
Ho 200/indray ny mofo zao hoy izy ary 500 ny vary.
Vu la brève, la promesse de remettre les tsena mora lui attirera un paquet de voix !
Vola fa tsy haranjono e!
Le valala a toujours été une source de revenu ou protéine dans le pays. Mais ils ont intitulé une structure «Ivotoerana Famongorana ny Valala eto Madagasikara». Si on respecte un tant soit peu l’environnement, a-ton le droit d’éradiquer complètement un maillon d’une chaîne environnementale ?
ne vous en faites pas. avec les méthodes qu’on utilise, le valala ne seront jamais éradiqués.
2.500 Ariary ny litatra menaka tompokolahy sy tompokovavy ! Ary ny lalana tsy azo hohanina !
2 000 ar ary hoy izy , tompokalahy sy tompokovavy
Hihihi
Déstabilisation politique! 🙂
Tokony atao azo hohanina @zay ngamba ty lalana ty an!
ils devraient s’inviter à la bâfrerie pour la célébration des 4 ans de règne d’Ubu
Sérieusement, au vu des prix sur le marché, bientôt on ne mangera plus, du moins ce qui est mangeable, les rats n’auront qu’à bien se tenir, sauf si c’est déjà le cas au fin fond de la brousse
mais les rats du hvm auront tjrs à manger quitte à retirer la bouffe de la bouche des enfants et du peuple (ce qu’ils font déjà vu qu’ils osent faire la fête alors que des millions ont à peine de quoi manger).
dans les campagnes, les paysans ne vendront généralement que le nécessaire pour pouvoir garder un peu de quoi manger. Ils peuvent se contenter de manioc, de maïs, de patates douces et autres tubercules qu’ils accompagnent de brèdes ramassées dans les champs ou de poissons issus de la pêche. c’est ceux des grandes villes qui vont payer le prix fort pour avoir à manger selon leurs habitudes
Mbola ny sotro sy ny vilia ve izany fa mbola ts nipoaka ve ny sarom-bilany?
Toa raha ny zavatra mitranga ankehitrio manko mety ho tonga hatr@ fipoahan sarom-bilany ve
Le peuple dit : » on a faim ! »
Le gouvernement dit : » on a soif ! » Donc on s’offre une petite coupette de champagne et l’on s’ouvre l’appétit et l’on ressort les petits fours…