Gné ? Non rien, je me suis juste amusé à googler 🙂
Et donc la première chose que j’ai lu en gros et en gras c’est « un mur de soutènement doit faire au maximum 4 mètres de haut »
Avec « mbola mety io ram’s a », on arrive allègrement à .. 10 mètres ?

Kay tsy nety intsony ilay izy ram’s a, marina kay ny any google nao.
7 morts.
puisque vous googlez, allez sur « phénomène d’élancement »!
euh je trouve rien 😯
flambage plutôt ?
oui, ça a un rapport avec notre mur! prenez une tige d’allumette, cassez l en 2, c’est facile, après la casser en 4 est moins facile!
flambage est devenu courant, mais le terme correct est « flambement »
mais cette contrainte ne s’exerce pas sut un mur de soutènement, qui n’est pas chargé en tête
le peu que je sais, c’est un mur de soutènement doit avoir la moitié de sa hauteur comme base, autrement dit, suivant l’exemple de elman , pour un mur de 4m ,la largeur de la base doit etre de 2metres mini
Sans faire des calculs d ingénieur, c est effectivement le rapport d environ 0.5 entre la base et la hauteur qu il faut retenir pour assurer avec une bonne marge la stabilité d un mur de soutènement.
J ai vu passer une photo de profil de ce mur après son effondrement et son épaisseur fait au max 80 cm. Autrement dit, dans le jargon technique c était juste un plaquage du talus sans aucune fonctionnalité de soutènement et avec l infiltration des eaux de pluies et les poids des véhicules aidant, il a logiquement fini par céder.