Oui bon ça va, inutile d’en rajouter, d’accabler encore plus Dupuis et ses petits protégés, on imagine bien que ça ne doit pas être la joie en ce moment dans les vestiaires.
Mais bon, c’est comme ça dans la vie. Il y a des hauts, des bas, dès fois ça marche super bien, dès fois pas du tout. Et le monde du sport n’y échappe pas, bien au contraire.
Maintenant, il faut capitaliser sur cet échec face à l’Ethiopie, on ne va pas refaire le match certes, mais il faut quand même un petit retour d’expérience, un petit bilan et en tirer les leçons comme on dit.
Ce qui ressort immédiatement c’est que nos joueurs étaient tout bonnement … rouillés ? Certes, quand on sait faire du vélo et que même si l’on en a pas fait depuis un moment « ça revient toujours » mais bon, il faut quand même un certain moment avant que les automatismes reviennent.
Et là ces mécanismes ne sont tout simplement pas revenus, ou peut-être un tout petit peu en deuxième mi-temps, sans doute après un bon petit recadrage du coach pendant la pause.
Donc il n’y a pas de mystère : il faut s’entraîner. Il faut faire des matchs. Il faut s’améliorer techniquement à l’échelle individuelle et surtout il faut reconstruire le collectif avec du sang neuf. A leur décharge, il faut tenir bien évidemment compte de ce satané covid19 mais j’ai presque envie de dire que tout le monde est logé à la même enseigne.
Évidemment quand on perd, tout le monde a cette fâcheuse tendance à vouloir tirer sur l’ambulance. C’est malheureusement la rançon de la gloire, et c’est partout pareil, là aussi il faut faire avec. Néanmoins attention à la « pipolisation » excessive, c’est grisant certes, mais comme le titrait un vieux film, « plus dure sera la chute« .
Mais on n’en est pas encore là. La phase ascendante est loin d’être terminée, contrairement à un certain virus, le pic est loin d’être atteint. Donc il faut oublier rapidement cette raclée en Ethiopie et se remettre rapidement au travail.
La guerre ne sera terminée que lorsque la dernière bataille aura été livrée, et il reste encore une bataille à livrer le 30 mars prochain, donc alefa, on se remobilise tompokolahy sy tompokovavy.
Même l’équipe de Messi a reçu une raclée parfois. Il nous faut alors une remontée, pas téléphérique, par tout sur le terrain et en dehors du terrain..
Scénario unique pour se qualifier:
ET
Tout autre resultat éliminerait les Barea
Un petit match nul de CIV contre le Niger ça m’irait déjà.
Au-delà de l’aspect sportif, j’ai comme l’impression que quelque chose est cassée dans la dynamique de cette équipe. Cela se traduit dans les attitudes qui contrastent avec celles que nous avons vu avant (depuis le match contre la CI déjà).
Y aurait-il des soucis en interne ? Des égos qui mineraient l’esprit de groupe ? Les fameux clans locaux / expats qu’on retrouve souvent chez les équipes africaines ? Seul le temps nous dira.
Nous n’avons plus notre destin en main sur cette qualification.
La Cote d’Ivoire qualifiée dès demain si victoire contre le Niger.
La qualification on l’a pas en main, mais entre les jambes.
La digitalisation disions-nous
Mouahahahah
Ce n’est pas la défaite qui me déçoit, c’est la manière. J’ai vu une Barea en léthargie hier, il n’y avait pas de match. Après plusieurs facteurs pourraient expliquer cela: l’altittude, la chaleur, le voyage… Il va falloir mouiller les maillots le 30 mars les gars. Vous valez largement plus que ce vous avez montré hier. Allez nos vaillants Barea
Bon les COMORES seront à la CAN. A force de sous estimer ce petit pays il est en train de nous surclasser dans tout les domaines.
Oui, ils ont tenu tête aux Togolais et restent 2eme de leur groupe en ce moment car l’Egypte mène au Kenya.
Henjana ilay vintana an
Ce n’est pas qu’une question de chance, c’est surtout ce qu’on appelle travail.
Ceux qui travaillent ont beaucoup plus de chance de réussir, si vous voulez 🙂
aza taitra fa isika mbola hampidrana vola an’dry zareo.
Je ne sais pas pour vous mais j’ai trouvé ça un peu raciste lorsque l’autre a dit ça.