Belle unanimité des marchands dans la Capitale : les clients ne suivent plus la spirale infernale de la hausse des denrées alimentaires.
La problématique est très simple : les produits à la source subissent des hausses, le transport explose également, de fait, les prix de vente sur les étals des marchés sont eux aussi mécaniquement impactés.
Sauf que comme on l’a dit, les clients ne suivent plus. Donc soit ils achètent moins, soit ils n’achètent plus du tout.
Et du coup les affaires ne tournent plus pour les marchands, qui se retrouvent même à vendre à perte car les fruits et légumes ont quand même une durée de vie limitée.
Hum, quand l’argent semble bien parti pour ne plus tourner, cela augure de lendemains bien sombres.
C’est compliqué hein ?
tsy mividy ny olona , dia rehefa hariva ny andro dia ariana fotsiny ny varotra , vao maika perte be tsy miditra ny vola , ny entana tsy lafo , ka tsy aleo hamidy mora mba mividy daholo ihany ny olona , dia mba misy vola miditra ihany na kely aza?
La semaine dernière, le marchand achetait a son fournisseur 1000 et revendait sur son étal 1200. Les clients pouvaient encore acheter, ça tourne.
Aujourd’hui le marchand doit acheter a 1500 et revendre a 1700.
Plus aucun client n’achete. Meme en bradant a 1500.. Donc il revend a perte disons 1300 ou 1400.
La semaine prochaine le marchand ne fera donc plus les marchés, zay, vita.
Ho maty mosary zany ny vahoaka, tena vonoin’ny fanjakana ny vahoaka malagasy
mais non, Edgard va arriver et il va décréter « prix plafond : 1200ar » lol
Mdrr
Aux mercantis tia kely qui trafiquent leur balance et bidouillent leur kapoaka, je dirais c’est bien fait pour vos gueules. Aleo samy hiaraka ihinan’ny IEM ny eto
Izahay moa akaiky Shoprite no mipetraka ,dia andeha hatsaka fa tena za irery ve no mpividy ,tsy mbola nisy izany hatramin’izay niantsenako